La surprise du chef ! Une Brough Superior SS100, la renaissance de la prestigieuse marque anglaise développée par Boxer Bikes. Jacky Montchanin au guidon. |
Le Beaujolais ! Cette région du Nord du département du Rhône, avec ses airs de Toscane, conjugue décidément bien des attraits.
Bien entendu nous pourrions parler de ses vins, de ses spécialités culinaires qui ont fait et font encore les grandes heures de la gastronomie locale, lyonnaise et nationale.
Mais ce serait oublier que ce terroir produit également de fins pilotes et préparateurs de motos.
On le sait peu (mais on s'en doute) ces paysages magnifiques, hors du temps, obligent les routes à tournicoter. Les conducteurs automobiles pestent et tournent frénétiquement leurs volants, tandis-que les motards penchent et avalent les obstacles avec la banane. De là à dire que c'est pour cela que le vin nouveau en a souvent les arômes, il n'y a qu'un pas...
Je t'invite à me suivre sur un promontoire au nom célèbre : le Mont Brouilly.
Planté aux limites de la plaine alluviale de la Saône, ce piton volcanique de 484m d'altitude garde l'accès de la vallée menant à Beaujeu. Couvert de vignobles réputés (Brouilly et Côte de Brouilly), son territoire est réparti entre deux communes, Saint Lager et Odenas.
Depuis cinq ans au mois de juin, c'est le théâtre de la désormais reconnue "Montée Historique du Beaujolais", car la route qui parcoure ses flancs au départ de Saint Lager est idéale pour la tenue d'une démonstration en côte.
Je te vois venir ! Certains diront que cette route n'est pas assez large, que sillonner le vignoble d'abord, pour finir par traverser un bois avant d'atteindre le sommet fait de cette route un tracé compliqué. Oui ? Et alors ? Il faut dire que le revêtement est impeccable, le cadre tout simplement extraordinaire et que finalement chacun est libre de tourner la poignée droite plus ou moins fort, surtout qu'aucun chronomètre ne viendra juger ses "performances".
C'est bien cela qu'il faut intégrer lorsque l'on s'inscrit "à Brouilly" : c'est avant tout le plaisir qui commande ! Et peut-être aussi les ondes positives dégagées par le lieu.
L'association organisatrice, la "Vieille Bécane Beaujolaise" (VBB) a mené ce week-end de bout en bout d'une main de maitre. Souligne avec moi le tour de force que représente la mise en place d'un évènement tel que celui-là, avec tout ce que cela comporte comme tracasseries administratives et autres recherches de partenaires et sponsors.
Mobiliser des bénévoles, construire le paddock au sommet du Mont avec buvette et tentes, pour pouvoir enfin accueillir 130 pilotes et machines ainsi que les spectateurs venus nombreux, il n'y a qu'un mot : bravo !
Il faut enfin noter que la VBB a réussi un véritable tour de magie : une météo idéale a couvert l'ensemble de l'évènement. Malgré une chaleur parfois pesante et un ciel souvent cotonneux, l'orage a attendu la fin du weekend pour éclater et n'a guère perturbé que le démontage des installations.
Pour ma part, je projette depuis longtemps de participer à une démonstration en côte. J'en ai émis l'idée l'hiver passé en particulier avec Fred, que tu as déjà croisé ici, et qui murit depuis quelques temps le même projet.
Fred à pour lui de posséder une superbe Honda CB 750 K2 de 1972, parfaitement éligible pour les montées historiques ce qui, tu en conviendras, tombe à pic.
Nous avons donc élaboré un plan, qui a eu le bon goût de se dérouler sans accroc : nous inscrire pour participer à cette cinquième montée historique du Beaujolais.
L'idée : y passer le weekend. Alors que certains choisissent de mettre leurs motos sur remorques, en gros rouleurs que nous sommes nous avons décidé de gagner le Mont Brouilly par la route. Fred au guidon de son CB et moi pilotant Ginette, le side-car familial (Yamaha 900XJ/Goliath Rallye de 1984) chargé de tout le bazar nécessaire.
Une fois sur place, Fred assurera la plupart des montées tandis-que je prendrai des photos comme à mon habitude, me réservant deux montées au guidon de la Honda.
Le samedi après-midi, les participants déjà présents ont été conviés à une balade dans la région. Ne pouvant y participer en raison d'obligations familiales et d'une drôle d'histoire de canalisations (;-) ) nous les avons rejoints à son terme, à l'usine Beringer située à Saint Jean d'Ardières. Sur place Simon et Etienne, respectivement Directeur Site et Directeur Technique et Commercial, nous ont fait visiter leurs locaux et décrit d'une manière claire et pédagogue les processus de fabrication de leurs produits.
Chacun a pu se faire une idée de la minutie, de l’ingénierie et de l'ingéniosité nécessaire au développement de systèmes de freinage ou de la fabrication de pièces spéciales dans différents champs d'application. Ce savoir faire pointu est reconnu par delà les frontières, les freins Beringer équipant entre autres de nombreux teams d'endurance moto, de célèbres préparateurs (Roland Sands est un client), des marques en petites séries (Avinton, Confederate) ou encore dans l'automobile de compétition.
L'entreprise est partenaire de la VBB. Les deux compères ayant un fameux coup de guidon c'est tout naturellement qu'ils ont rejoint la cohorte des pilotes pour gagner le sommet du Mont Brouilly à quelques kilomètres de là.
Accueillis là haut par le président de la VBB Jacques "Corbeau" Fernandes et son épouse Maïté, doublés d'Olivier et Arnaud, Fred et moi avons satisfait au obligatoires vérifications documentaires d'usage: permis de conduire et assurance. Pas besoin de licence sportive pour participer à une démo ! Puis nous avons passés la moto et nos équipement de sécurité à la vérification technique (freinage et état général de la machine). Cette étape franchie, il ne restait plus qu'a nous remettre notre plaque numéro. Kévin s'en est chargé, sous l’œil malicieux de Jacques : la plaque numéro n'en porte pas, elle affiche crânement "Galipomètre" en lieu et place des chiffres ! La grande classe ! Et une vraie bonne surprise. Merci ! ;-)
Nous avons ensuite pris nos quartiers dans une allée du paddock, où nous avons déplié le barnum pour abriter nos affaires et la moto.
Nous avons mérité un peu de repos... Mais un petit remontant fera tout aussi bien l'affaire. L'apéro de bienvenue offert par la VBB a réuni l'ensemble des participants au pied de la chapelle qui domine le Mont Brouilly. Consacrée à Notre Dame aux Raisins, l'endroit est tout trouvé pour ce rassemblement convivial (en plus elle veille aux...grains!)
Imagine un peu : grand beau temps, température idéale en cette fin de journée. Au travers des ramures, la vue porte sur des kilomètres à 360 degrés. A l'Ouest, les monts du Beaujolais moutonnent dans la brume du soir. Plein Est, la chaine des Alpes barre l'horizon, comme suspendue dans l'azur. Au Nord, la vallée de la Saône forme la limite de ce bout de Massif Central érodé. Au Sud enfin, la Calade, Villefranche-sur-Saône et les Mont d'Or qui surplombent Lyon se dessinent, comme crayonnés.
Épatant !
C'est avec un grand plaisir que j'ai retrouvé là de nombreux visages connus, croisés sur les démos et courses de côtes ou les circuits de la région. François et Nad, Fred (un autre !) et Karine, Patrick et Cendrine, Pierre H et Muriel, Les LôCteux "Doudou et Néné", Jacky Grolet, Etienne et Simon, Yannick et Alain, Gégé "Popeye", Dominique, Lucas, Kévin, tout le staff de la VBB et tant d'autres !
Les mines réjouies, le calembour de rigueur, les anecdotes croustillantes et une bonne humeur communicative, tout y est. Inénarrable.
Le jour tombant, il a fallu prendre des dispositions pour le lendemain.
Nous avons apprêté la Honda pour lui donner une "petite touche racing" : démontage des rétroviseurs et collage au ruban adhésif de toutes les parties susceptibles de casser en cas de chute (phare, clignos, feux...). Niveau de carburant et pression des pneus effectués, nous avons pu aller prendre un peu de repos.
Au petit matin du lendemain, la météo semblait devoir choisir entre pluie et soleil.
C'est finalement ce dernier qui l'a emporté, réchauffant l'atmosphère, les participants et le goudron de la "piste". Ceci afin de rassurer les pilotes. C'est tout de même bien fait non ?
Notre Honda CB 750 K2 fin prête, j'ai quitté le paddock à pied pour me glisser dans la pente le long du tracé pendant que Fred attendait le signal pour gagner la zone de départ.
Après le traditionnel "quart d'heure beaujolais" (qui n'a rien à voir avec une quelconque dégustation du breuvage éponyme hein ! C'est l'estimation locale d'une durée comprise entre zéro et trente minutes - Rien que de très normal) l'ensemble des pilotes et leurs montures ont pu rejoindre le bas de la pente.
La route devenue piste a d'abord été ouverte par la montée des gendarmes, comme l'exige la tradition (et probablement la Préfecture!), puis les pilotes ont pu s'élancer à tour de rôle toutes les trente secondes.
Gravir le Mont Brouilly à bon rythme est exigeant pour les mécaniques. Les 2200 mètres de la piste comportent 18 virages dont 8 épingles et la pente est de 15% en moyenne.
Il faut bien tenir le guidon, surtout lorsque la monture est un side-car basset ! Ce ne sont pas Yannick et Alain qui diront le contraire...
L'absence de chronométrage permet à chacun de mesurer son engagement sur le parcours. C'est ce qui fait le charme des démonstrations en côte. Les machines sont respectées, surtout lorsqu'elles sont rares ou en "état concours".
Ce qui n'empêche pas de souder la poignée droite. Les plus rapides sont souvent les plus aguerris : Maurice Maingret et sa 500 Jawa double arbre de 1953, Guy Letant sur sa 500 Norton Manx, Alain Genoud sur son racer Kawasaki 900 de 1979, sans oublier Pierre Faure sur Motobi Zanzani 250 de 1965 ou 68 ... Dis toi bien que ces gars-là, parmi d'autres, ne sont pas venus amuser le terrain.
D'une manière générale, tout le monde aura à cœur de faire bonne figure et d'offrir du spectacle aux visiteurs, venus nombreux.
Et ça, c'est chouette !
La matinée s'est écoulée au gré des montées et des descentes jusqu'à ce que les pilotes, bien cuits après avoir mijotés dans leurs cuirs sous le soleil de midi, aient été invités à prendre une pause.
Voilà qui marque la fin de ce premier épisode. Pour l'agrémenter, tu reprendras bien quelques photos?
Avec plaisir ! :-)
Panorama côté Val de Saône |
Pour ma part, je projette depuis longtemps de participer à une démonstration en côte. J'en ai émis l'idée l'hiver passé en particulier avec Fred, que tu as déjà croisé ici, et qui murit depuis quelques temps le même projet.
Fred à pour lui de posséder une superbe Honda CB 750 K2 de 1972, parfaitement éligible pour les montées historiques ce qui, tu en conviendras, tombe à pic.
Nous avons donc élaboré un plan, qui a eu le bon goût de se dérouler sans accroc : nous inscrire pour participer à cette cinquième montée historique du Beaujolais.
L'idée : y passer le weekend. Alors que certains choisissent de mettre leurs motos sur remorques, en gros rouleurs que nous sommes nous avons décidé de gagner le Mont Brouilly par la route. Fred au guidon de son CB et moi pilotant Ginette, le side-car familial (Yamaha 900XJ/Goliath Rallye de 1984) chargé de tout le bazar nécessaire.
Une fois sur place, Fred assurera la plupart des montées tandis-que je prendrai des photos comme à mon habitude, me réservant deux montées au guidon de la Honda.
Le samedi après-midi, les participants déjà présents ont été conviés à une balade dans la région. Ne pouvant y participer en raison d'obligations familiales et d'une drôle d'histoire de canalisations (;-) ) nous les avons rejoints à son terme, à l'usine Beringer située à Saint Jean d'Ardières. Sur place Simon et Etienne, respectivement Directeur Site et Directeur Technique et Commercial, nous ont fait visiter leurs locaux et décrit d'une manière claire et pédagogue les processus de fabrication de leurs produits.
Etienne Bocard nous parle de gravure au laser. Beringer |
Chacun a pu se faire une idée de la minutie, de l’ingénierie et de l'ingéniosité nécessaire au développement de systèmes de freinage ou de la fabrication de pièces spéciales dans différents champs d'application. Ce savoir faire pointu est reconnu par delà les frontières, les freins Beringer équipant entre autres de nombreux teams d'endurance moto, de célèbres préparateurs (Roland Sands est un client), des marques en petites séries (Avinton, Confederate) ou encore dans l'automobile de compétition.
L'entreprise est partenaire de la VBB. Les deux compères ayant un fameux coup de guidon c'est tout naturellement qu'ils ont rejoint la cohorte des pilotes pour gagner le sommet du Mont Brouilly à quelques kilomètres de là.
Accueillis là haut par le président de la VBB Jacques "Corbeau" Fernandes et son épouse Maïté, doublés d'Olivier et Arnaud, Fred et moi avons satisfait au obligatoires vérifications documentaires d'usage: permis de conduire et assurance. Pas besoin de licence sportive pour participer à une démo ! Puis nous avons passés la moto et nos équipement de sécurité à la vérification technique (freinage et état général de la machine). Cette étape franchie, il ne restait plus qu'a nous remettre notre plaque numéro. Kévin s'en est chargé, sous l’œil malicieux de Jacques : la plaque numéro n'en porte pas, elle affiche crânement "Galipomètre" en lieu et place des chiffres ! La grande classe ! Et une vraie bonne surprise. Merci ! ;-)
Nous avons ensuite pris nos quartiers dans une allée du paddock, où nous avons déplié le barnum pour abriter nos affaires et la moto.
Nous avons mérité un peu de repos... Mais un petit remontant fera tout aussi bien l'affaire. L'apéro de bienvenue offert par la VBB a réuni l'ensemble des participants au pied de la chapelle qui domine le Mont Brouilly. Consacrée à Notre Dame aux Raisins, l'endroit est tout trouvé pour ce rassemblement convivial (en plus elle veille aux...grains!)
Imagine un peu : grand beau temps, température idéale en cette fin de journée. Au travers des ramures, la vue porte sur des kilomètres à 360 degrés. A l'Ouest, les monts du Beaujolais moutonnent dans la brume du soir. Plein Est, la chaine des Alpes barre l'horizon, comme suspendue dans l'azur. Au Nord, la vallée de la Saône forme la limite de ce bout de Massif Central érodé. Au Sud enfin, la Calade, Villefranche-sur-Saône et les Mont d'Or qui surplombent Lyon se dessinent, comme crayonnés.
Épatant !
Apéritif VBB |
C'est avec un grand plaisir que j'ai retrouvé là de nombreux visages connus, croisés sur les démos et courses de côtes ou les circuits de la région. François et Nad, Fred (un autre !) et Karine, Patrick et Cendrine, Pierre H et Muriel, Les LôCteux "Doudou et Néné", Jacky Grolet, Etienne et Simon, Yannick et Alain, Gégé "Popeye", Dominique, Lucas, Kévin, tout le staff de la VBB et tant d'autres !
Les mines réjouies, le calembour de rigueur, les anecdotes croustillantes et une bonne humeur communicative, tout y est. Inénarrable.
Le jour tombant, il a fallu prendre des dispositions pour le lendemain.
Nous avons apprêté la Honda pour lui donner une "petite touche racing" : démontage des rétroviseurs et collage au ruban adhésif de toutes les parties susceptibles de casser en cas de chute (phare, clignos, feux...). Niveau de carburant et pression des pneus effectués, nous avons pu aller prendre un peu de repos.
Notre Dame aux Raisins veille sur le Mont Brouilly et sur le paddock ! |
Au petit matin du lendemain, la météo semblait devoir choisir entre pluie et soleil.
C'est finalement ce dernier qui l'a emporté, réchauffant l'atmosphère, les participants et le goudron de la "piste". Ceci afin de rassurer les pilotes. C'est tout de même bien fait non ?
Notre Honda CB 750 K2 fin prête, j'ai quitté le paddock à pied pour me glisser dans la pente le long du tracé pendant que Fred attendait le signal pour gagner la zone de départ.
Après le traditionnel "quart d'heure beaujolais" (qui n'a rien à voir avec une quelconque dégustation du breuvage éponyme hein ! C'est l'estimation locale d'une durée comprise entre zéro et trente minutes - Rien que de très normal) l'ensemble des pilotes et leurs montures ont pu rejoindre le bas de la pente.
La route devenue piste a d'abord été ouverte par la montée des gendarmes, comme l'exige la tradition (et probablement la Préfecture!), puis les pilotes ont pu s'élancer à tour de rôle toutes les trente secondes.
Gravir le Mont Brouilly à bon rythme est exigeant pour les mécaniques. Les 2200 mètres de la piste comportent 18 virages dont 8 épingles et la pente est de 15% en moyenne.
Il faut bien tenir le guidon, surtout lorsque la monture est un side-car basset ! Ce ne sont pas Yannick et Alain qui diront le contraire...
Yannick Gerez et Alain Scheurer, 750 Suzuki dans un chassis anglais modifié... |
L'absence de chronométrage permet à chacun de mesurer son engagement sur le parcours. C'est ce qui fait le charme des démonstrations en côte. Les machines sont respectées, surtout lorsqu'elles sont rares ou en "état concours".
Ce qui n'empêche pas de souder la poignée droite. Les plus rapides sont souvent les plus aguerris : Maurice Maingret et sa 500 Jawa double arbre de 1953, Guy Letant sur sa 500 Norton Manx, Alain Genoud sur son racer Kawasaki 900 de 1979, sans oublier Pierre Faure sur Motobi Zanzani 250 de 1965 ou 68 ... Dis toi bien que ces gars-là, parmi d'autres, ne sont pas venus amuser le terrain.
D'une manière générale, tout le monde aura à cœur de faire bonne figure et d'offrir du spectacle aux visiteurs, venus nombreux.
Et ça, c'est chouette !
La matinée s'est écoulée au gré des montées et des descentes jusqu'à ce que les pilotes, bien cuits après avoir mijotés dans leurs cuirs sous le soleil de midi, aient été invités à prendre une pause.
Voilà qui marque la fin de ce premier épisode. Pour l'agrémenter, tu reprendras bien quelques photos?
Avec plaisir ! :-)
Le camp de base du Galipomètre, Fred Cornet, à gauche, prend la pause auprès de la superbe BSA A65 Lightning 1970 de Gérard Bouvier, à droite. |
Kévin, commis d'office à la remise des plaques numéros |
Le briefing des commissaires de piste par Jacques, le prez VBB. Ils vont assurer la sécurité du parcours, avec pas moins de 20 postes disséminés le long de la montée. Bravo à tous ! |
Jacques Fernandes, le président de la VBB, briefe également les pilotes |
Olivier Marguin, membre fondateur de la VBB et speaker officiel de la montée historique |
Gérard Bouvier, BSA A65L 1970 |
Alain Nicod se fait prêter main forte pour manœuvrer son basset à moteur Kawasaki 750 de 1974 |
Pendant ce temps là ... Karine "chez elles" Bessee, lustre des échappements avec bonne humeur ! |
Fred Dargaud fait le plein de son basset Guzzi (dont Karine lustre les échappements!) Oui, c'est bien son jerrican ;-) |
Xavier Ply et sa Yamaha 350 RDLC 1980 |
Christian Fauchille bricole de bon matin ! |
Courte nuit pour Etienne (au guidon), qui a juste fini de remonter le moteur de sa 1100 Suzuki/Martin de 1983. Le coup de main de Philippe (à la selle?!) est bienvenu ! |
François Guillermont, de bonne heure et de bonne humeur. Comme toujours ! Merci François. (Kawasaki Z1000ST 1979) |
Panorama en direction de Beaujeu |
Simon Piguet, maison Beringer, sur sa superbe Suzuki 250RG Gamma 1991 |
Prêts à rejoindre le départ |
Pierre Faure MC2A, décontracté. |
Maurice Maingret démarre sa Jawa à la poussette ! |
Fred Cornet fait le malin mais n'en mène pas large ! |
En bon professionnel, le gendarme à moto fait tout frotter ! (il faut bien user les pneus jusqu'aux bords pour en avoir des neufs ! ;-) ) |
Guy Letant sur son Norton 500 Manx de 1953. Magnifique et intemporel ! (oui, Guy aussi... !) |
Marlyse Sciboz, Harley Davidson XR/Rotax 560 de 1983 |
Maurice Damour, Kawasaki 500 H1 1971 |
Une partie des près de 130 participants, "stockés" au départ. |
Franck "Balto" Gros-Balthazar sur sa Kawasaki Z650 |
Dominique Gelas est le "fermeur"sur sa Honda CB250RS |
A suivre ! ;-)
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