lundi 28 janvier 2013

Brochette d'MV

Une partie de la collection Elly... ça laisse rêveur !


Archives maison, CML 2009

samedi 26 janvier 2013

Bike test: Ze British Bombinette

O°, quelque part dans la campagne environnant la capitale des Gaules

Mazette mon gone! quelle caillante !
Non, je ne vais pas faire le point météo de la Mère Cottivet, sois tranquille.

Aujourd'hui, grâce à la bonté de Monsieur D, tenancier d'une célèbre enseigne de moto Grand Bretonnes, j'ai eu le plaisir de chevaucher quelques trop courts instants la dernière mouture du best seller* du moment. J'ai nommé: la Triumph Street Triple 675 R.

* source: MI-6, J.Bond consulting.

Alors, comme à l'accoutumée, je ne vais pas t'inonder de chiffres et de listings plus ou moins exhaustifs concernant les améliorations de l'engin (achète moto journal)
Non. 
Tu vois, je préfère te faire part de mon ressenti de conducteur de pilote, motard au quotidien d'une brêle qui sera bientôt interdite de tous les centre villes Européens (!!) autant te dire que je viens de loin. Donc tu peux tout à fait ne pas être d'accord avec moi ! la case "commentaires" en bas est faite pour échanger si besoin. Je ne te ferai aucun mal...

Bon, au minimum tu dois savoir que cette street triple :

- dégage 106 chevaux ( Pour frimer je te conseille vivement de convertir en poneys : soit 212 )
- pèse 183 kg avec les pleins (pas mal !)
- qu'elle ne dispose pas de filet à commissions (bof )
- que pour l'enduro c'est zéro (pinaise ! j'en ai bavé pour l'emmener dans le chemin de terre ou j'ai fait les photos...)

Hum ! ;-)

Donc, je plante là Mamie ZRX pour enfourcher la Triumph.

Bonne bouille non ?
 

Étonnamment mon grand gabarit (1,92m pour un poids à trois chiffres que la décence m'interdit d'indiquer ici) est parfaitement à l'aise. Les jambes rentrent bien dans la moto, le réservoir est étroit et très facile à serrer. Le guidon tombe pile sous la main, quoique la position soit assez sur l'avant. L'appui sur les bras se fait sentir à allure modérée, sans que cela soit gênant. 

Les reposes pieds quant-à eux sont bien à l'aplomb des épaules, les jambes pas trop repliées.
J'ai d'abord eu l'impression d'avoir les "pieds joints" tant la machine est étroite !
Cela m'a gêné dans un premier temps, les appuis n'étant pas très efficaces à allure routière. Cela invite à conduire "au guidon". Sa largeur est sympa et permet d'ailleurs de bien appréhender les trajectoires. Tu prends alors conscience que l'engin a été pensé pour une pratique sportive. La sécheresse des suspensions vient confirmer cette réflexion rapidement ! 
Traj' tendues, la moto se place d'un regard, hyper précise.

Le moteur, le fameux 675 trois cylindres (triple, donc hein! vu ?) émet son sifflement caractéristique dès le démarrage. Son bruit est très présent, le silencieux en position basse laisse passer un feulement baryton des plus agréables. A se demander comment il a passé l'homologation! Mais quel coffre ! d'abord le couple te tracte avec bonheur, le temps pour toi de te détendre... mais passé le round d'observation, tu prends une claque ! 

Montées en régimes, reprises, la docilité de l'ensemble est déconcertante. Tu peux enrouler pépère en 6ème à 2000 tours sans hoquets, et l'instant d'après tartiner sans arrières pensées.
L'engin se défoule alors, d'une manière assez linéaire jusque vers 8000 tours, puis arrache les bras au-delà, dans un comportement que Monsieur D rapproche de celui d'un deux temps. 
Je suis plutôt d'accord, même si j'aurai tendance à temporiser: à chaque instant tu gardes la maitrise de la bête, qui ne se désunit pas. Pas de frayeur à prévoir.


Dès les premiers tours de roue l'équilibre général t'injecte une dose de tranquillisant, néanmoins bienvenue tant la poignée de gaz est sensible. Il est en effet assez facile de donner quelques à coups le temps de trouver son rythme. La réponse du moulin est instantanée. 


Le poste de pilotage, spartiate, est superbement fini. Le compteur est équipé d'un shiftlight bien visible
C'est bien tout ça, mais si il faut s'arrêter ? 
Et bien mon ami, la street triple R est fort bien doté de ce point de vue.
Elle est équipée à l'avant de deux disques de 310mm qui remplissent parfaitement leur rôle. Ils sont pincés par deux fois quatre pistons montés dans des étriers à montage radial. La grande classe !
L'attaque du levier est cependant brutale, mais le dosage s'effectue ensuite sans soucis. 
Le frein arrière est doté de seulement 1 piston sur un disque de 220, ce qui, à mon avis, est un poil faible. 
Pour bien fermer un virage serré à vive allure, il faudra privilégier un freinage en ligne puis balancer la moto dans la courbe plutôt que de compter sur un coup de pédale qui, pour ma part est devenu "instinctif"... ça m'a imposé une certaine vigilance sur les premiers kilomètres. Je te rassure, ça passe très vite, à tel point que pour rentrer à la maison avec mon gros Z j'ai eu du mal !!

Enfin, et comme ça fait toujours plaisir d'être posé sur une belle brêle il faut souligner que les conversations de terrasses seront bien détaillées.
Sur la béquille comme en action, la finition de la bête est juste impeccable. Hyper propre, plastiques ajustés, peinture de bon aloi, alus bien taillés et fils bien rangés. Rien à dire ! ou plutôt si: certaines Nipponnes devraient en prendre de la graine... c'est dire !

Fort de ces quelques infos, je suis parti à l'assaut de la montagne Lyonnaise. 
Avec plaisir ! ah ! malgré le froid très présent (0°) et quelques sournoises plaques de verglas, je me suis régalé. 
Ok, je suis bon public, je te l'accorde. Il n'empêche que cette petite bécane sait t'insuffler un je ne sais quoi de piquant et agréable, un peu comme si tu pouvais reprendre du dessert sans te préoccuper d'indigestion.

Bien sûr si l'envie t'en prend tu pourras chasser le chrono, lever la roue avant, frimer les gonzesses ... ou faire la (les) course(s)

Super maniable, légère et enjouée elle saura te mettre la banane même en allant au boulot sous la pluie.

Alors imagine partir pour une journée piste !

Deux trois tofs ?
Voilààà  ;-)


Chouette non ? c'est bien fini, juste impec'


Au cas ou tu doutes, c'est marqué dessus... elle manque pas d'R !


Tout est dans le regard... ce petit R de speed est du meilleur effet et, finalement, on s'y fait !


Racing on t'a dit ! voilà donc une fourche réglable. Tube droit.


Tube gauche... joli non ? 


Non ! il n'a pas changé (air connu) on parle du moulin là !


Heu... rien, je l'aime bien celle là !


Street Triple 675 R 2013.  Dans les cailloux, tout doux. Sur le goudron, c'est bon !


dimanche 20 janvier 2013

Yougottapompileup !

Mercredi passé, au pied du spot de luge du gone, quelque part en périphérie de Lyon

Et bien oui cher ami(e), je ne peux pas à la fois revendiquer une passion dévorante et t'abreuver continuellement de photos en provenance de mes archives, sans te faire partager mon expérience quotidienne de pilote inconditionnel de side-car ! 

Certains remisent leurs brêles pour l'hiver. 
D'autres la sortent dès qu'il fait un rayon de soleil. 
D'autres encore ne cessent de rouler que si les conditions deviennent dantesques... j'étais de ceux là, abandonnant parfois mon fidèle destrier dans d'obscures retraites verglacées, contraint de venir le chercher au dégel.

Désormais, et depuis maintenant quelques années, ce genre de mésaventure ne se produit plus ! 
C'est salutaire, c'est à dire même bon pour la santé ! tu verras ;-)

La troisième roue change beaucoup de choses, non seulement en combinant les avantages de la voiture ET de la moto, mais également en augmentant de manière sensible les capacités de franchissement de la moto originale, décuplant de même le potentiel pratique qu'aurait une voiture légère dans ces conditions.

Héhé ! loin d'être un modèle d'équilibre, le side car devient un moyen de déplacement plutôt ludique sur terrain piégeux comme ces jours-ci, sur la neige.
Bien entendu, comme aiment à le dire les cascadeurs Américains Steve O et Colt Sivers, "don't try this at home !"  hein!, et on les comprend.
Mais ne t'égare pas, si la pratique n'est pas exempte d'un certain danger, cela confère au pilote une aura d'aventurier ténébreux et intrépide... non ? ah !
Se faufiler dans la circulation "patinante", maitriser l'engin, appel, contre appel, ronds points en glisse ... le tout à une vitesse déconcertante largement inférieure à la limite (!!) 
Se faire entrainer par le poids du panier dans les virages à gauche, avec le sourire d'abord puis -peut-être- avec une vague inquiétude lorsque d'aventure tu croises le regard d'un automobiliste qui se serai maladroitement glissé sur ta traj'. 
Tu pourras parfois conduire ta charrette "au klaxon" un soir de débauche, pour ma part avec le side je roule "au regards" !
Ils sont effrayés, menaçants, goguenards mais le plus souvent effarés, ces derniers s’accompagnent en général d'un coup de frein qui me permet de me faufiler, avec la banane et un petit merci de la main ou de la tête, un peu à la façon du Pape en papamobile (mais je ne vais pas jusqu'à les bénir)

Il faut aussi aborder le sujet du froid. 
En side car, tu as moins froid qu'en solo. 
C'est simple, les manœuvres nécessitent en engagement physique plus important. Du coup, seules les extrémités sont soumises aux affres des températures négatives. 
Des manchons suffisent pour les mains, sur lesquelles tu auras préalablement et dans l'ordre appliqué une couche de dermophyle, puis un sous gant fin en vessie de taupe de Zanzibar acheté à prix d'or chez ton accessoiriste préféré -celui qui t'appelle "mon ami" depuis que tu lui a acheté ce magnifique blouson doublé de poil de yack en carbone - puis des gants hiver en matière "technique" spécifiques à la pratique moto. Ce dernier point est à souligner, puisque lorsque tu entends "matière/produit technique" , je te conseille de ne retenir que les deux dernières syllabes. Si ! tu me remercieras.
Donc des gants de ski dans d'honnêtes manchons ça suffit.
Au pieds?  et bien tu préfèreras des chaussettes de ski et des bottes plutôt que des tongs et le tour est joué, tu peux prendre la route.

Et laisse tomber le plastron en papier journal, enfile un bon tricot de peau bien absorbant !

En effet, les efforts consentis seront aptes à générer une saine chaleur. Si ce n'est pas le cas, les frayeurs ressenties seront aptes à générer une vaine moiteur.

Dans les deux cas, pas de soucis, le froid ne passera pas par toi.

Sauf si tu as oublié ton pull, ton blouson, ton tour de cou... mais je ne te fais pas l'affront de te dire de t'habiller le matin ! alors... 

Cette semaine j'ai d'ailleurs réalisé quelques trajets dans la région sans problème particulier, notamment un détour en vallée d'Azergues par moins six degrés sous abris (-10 ressentis) 
Une bonne ballade bien revigorante, qui fait bien crever toutes espèces de microbes qui pourraient s'en prendre à toi. 

Tu peux aussi manger 5 fruits et légumes par jour, avec parait-il le même résultat. 
J'en doute franchement, préférant largement occire le virus de manière violente. Une tape derrière l'oreille pour l'étourdir (avec un jus d'orange par exemple) puis direct un tour en side pour le finir.

Et voilà l'travail. 

Tu as peur d'avoir la grippe ? tu n'aimes pas les piqûres?

Passe me voir, on ira faire un tour ... 








jeudi 17 janvier 2013

Pendant ce temps là ...

Un basset BMW/Shmidt, dans la montée de Bettant en 2010... en 750 ou 1000, ce type d'attelage n'a plus rien à prouver ! qu'est-ce que c'est choli non ?  Arch !


Même endroit, le Yahaha! de Fabrice, à moteur 1000 FZR sur un chassis de rallye Produc'side, avec un panier cobra. Spartiate, ce side maison est collé à la piste et sa garde au sol un poil limite ! ça m'a coûté une semelle ... C'est aussi le premier side que j'ai essayé avant de m'y mettre (au side, pas au tas !)

Archives maison, côte de Bettant 2010

mercredi 16 janvier 2013

Bobsleigh


Tiens !  en bécane comme en luge, on débranche tout dans la famille !! Gazzzz !

vendredi 11 janvier 2013

Elle roule !

Arf !

Nan, c'est pas vrai. 

Enfin pas tout à fait, puisque techniquement le puzzle racer repose désormais sur ses roues.
Il y a encore un peu de boulot pour que le moteur donne de la voix, mais tu conviendras qu'un grand pas à été réalisé. 

J'adore qu'un plan se déroule sans accroc.


J'adore dire "j'adore qu'un plan se déroule sans accroc". C'est puéril mais je suis  fan du A-TEAM (l'agence tous risques, ignare!)  et dès que je bricole je revoie Barracuda et son chalumeau. 
Certaines personnes, du genre à  bazarder une tronçonneuse neuve parce qu'elle ne démarre pas, revoient quant-à elles foirer les expériences de Mc Gyver. Chacun son style !

En attendant, il faut que tu saches que le montage de la roue arrière s'est fait dans un calme et une décontraction qui m'a surpris, l'ensemble tournant avec un petit bruit: "zzzzzzzz" des plus agréables et qui laisse à penser que l'entretoise de bras oscillant naguère tournée par Jérôme remplit parfaitement son office:


Là, bien sûr, tu n'entends rien hein ! c'est normal, c'est aligné nickel... ZZZZZZ !



Et que dire de la roue avant ? bah ! r'garde donc :



Pas mal hein ? oui, je conserve les photos de l'engin en noir et blanc, pour qu'au final (c'est à dire à la fin) je te laisse découvrir la couleur choisie. Elle ne l'est pas encore d'ailleurs, donc le noir et blanc me laisse à ma réflexion. Et toi de même. 
Si tu as des idées sur le sujet et bien, garde les pour toi ! à moins que, d'une manière particulièrement insistante quoique extrêmement polie tu arrives à me convaincre.  
Cela dit, il est hors de question de coller de la peluche marron sur le réservoir, laisse tomber, merci Bruno !

Tu as bien sûr remarqué que d'autres éléments ont poussé, notamment la boucle arrière. Elle est en place pour la photo, je lui prépare une petite coupe bien dégagée derrière les oreilles. 
Le but ? pouvoir y placer une coque de selle en polyester, façon Norton, Dunstall ou même encore 250 RGV, Norton ayant ma préférence comme tu le sais.

J'ai également mis en place des pattes de phare qui s'avèrent trop courtes ! un petit accroc de rien du tout... C'est le seul pour le moment. Je m'attend donc à une cou  un désagrément qui viendra mettre un peu de sel dans cette histoire !

En attendant, voilà la suite prévue en gros :


Si tu n'arrives pas à lire, clique sur la photo pour la grossir
 

Héhé... à suivre !

mardi 8 janvier 2013

Trois quarts... arrière.


Soyons réalistes, n'ayons l'air de rien.

Sentence pointue, mais ô combien pragmatique... d'abord en chansons, puis comme une rengaine entêtante il faut bien en accepter le principe: tu te retournes systématiquement  dès que tu croises une beauté, avec la stupide excuse de la dévisager. 

Où as-tu entendu dire que le nuque d'une aphrodite entre-aperçue pouvait déclencher un quelconque élan  libidineux?

Hypocrite ! et -tu m'excuseras si tu fais partie de mes lectrices- il va sans dire que d'un point de vue masculin qui plus est doublé d'un motard, tu ne pourras qu'encourager ce monument de la mauvaise foi.

Baste ! il en va de même pour les bécanes, tu me pardonneras ce travers des plus machos, mais le motard n'avouera jamais que le point de vue sur le cul de selle de la bécane qui le précède est celui qu'il préfère, si toutefois il ne parvient pas à remonter la concurrence au premier freinage !

Cette profonde réflexion (n'est-ce pas ! ;-) ) est inspirée par le tri que je mène depuis longtemps dans mon stock de photos de motos de tous âges et de toutes confessions ... 
Généralement statiques, ces clichés reprennent souvent la poupe de ces brêles qui, pour moi, est aussi parlante que la ligne générale ou la que la proue. 
J'aime le côté bestial de la honda ci-dessus, le côté "prêt à bondir" avec le pneu encadré par les deux mégaphones que l'on devine hurlants, à l'image des tuyères d'un jet. J'aime aussi le côté désuet que prend cette allure, déjà datée, anachronique, mais d'une simplicité presque sensuelle... 

Tu souris ? Dis donc ! tu as déjà apprécié le cul de ta belle lorsqu'elle arbore ses nouvelles chaussettes ! de préférence en 190, un bon boudin incite au voyage non ? alors ! 

C'est trop ? non, je ne crois pas. Moi, ça m'inspire. Je ne sais pas vraiment ce que en penses, ni même si tu as lu jusqu'ici ! :-) mais si c'est le cas, je sais que tu as compris.
Le jus de cervelle,  les heures de labeur consenties par le mécano,  le pilote, transpirent ici, à l'opposé du carénage qui masque l'avant de l'engin, et favorise la pénétration dans l'air.

Et si il n'y avait que l'échappement pour rebuter l'ignare écolo qui se serait risqué dans le sillage de ce cheval de fer, encore faudrait-il qu'il ai le nez fin, à défaut de l'oreille absolue !

Comme il est tard et que tu préfères les images, voici quelques clichés glanés ça et là, qui illustrerons parfaitement ce que je viens de te dire. 

Rhâââ ! puissance ou impression de, la guerre commence dans le paddock !





Ok, on peut rester coincé sur la béquille...


... ou porter la jupe en dessous du genou.


Là, c'est clair non ? accroche toi aux branches !


En panne ? Nan !  mais quel cul !


Le Savoyard l'aime relevé.


Le ton-up boy trifouille sous le drap.


Ah ! je te l'avais déjà montré celui là... mais quand même !


D'autres photos de culs ? c'est possible. Garde ton calme !
Archives maison, CML 2010 et 2011.

vendredi 4 janvier 2013


Manette !

Jan De Vries adonf dans la ligne droite de Dijon

Ah ! un 50 de GP ! faut que tu voies tourner ça un de ces jours... c'est incroyable, les pilotes étaient de vrais jockeys, et les machines de véritables protos.
Tel ce Kreidler Van Veen mené de main de maitre par Jan de Vries, double champion du monde en 71 et 73.
Capable de 160 kmh, l'engin est monté sur ce qui nous semble aujourd'hui être des roues de vélo ! la maniabilité est cependant redoutable, les trajectoires au cordeau, en recherche de vitesse permanente. Baston assuré !

Archives maison, CML 2008

Gloups !


Oui, on donne volontiers à boire à une mamie de cet acabit ... avec comme un écho de crack pétrolier, le vintage est décidément très ancré dans l'actualité !

Archives maison, CML 2008

H D XR 750


C'est bô !
J'essaierai bien d'y mettre en travers, juste pour voir !

Archives maison, CML 2008


mardi 1 janvier 2013

Bonne et heureuse année 2013 !!

Un ducat' sport classic 1000 surpris à la terrasse du Beaujolais le 31/12, avec une vue imprenable sur le vignoble, la val de saône et, au fond, les Alpes.


Oui ! je te présente mes meilleurs vœux pour cette année 2013, avec tout ce que tu pourras souhaiter de mieux pour toi et ton entourage.

Mais surtout, plein de bécane(s), rencontres, bourres, virolos, émotions, grip, sensations, mécanique (pas trop), prépas, virées, sorties, wheelings, burns, sacoches, évasions, side car, et plus encore !

Motardement,

Flo,  
legalipometre


Le même endroit, sans la ducat' mais avec un rayon de soleil couchant et le Mont Blanc au fond sympa ! en plus, pour aller à ce point de vue la route est par-faite en brêle... je te ferais voir un de ces quat' !