mardi 26 avril 2016

Formule 2

Le side-car F2 SGR de François Leblond. La carène brûle comme ça à chaque fois qu'il rentre dans l'atmosphère !!!   Gaz !  ;-)


Archives maison, Promosport Lédenon 2016

samedi 23 avril 2016

Un p'tit viron ?

Les accessoires au top : lunettes de soleil, casque à paillettes et gants d'été... Gaz !


Bah oui ! pourquoi ne pas tailler un bout de route au guidon du Puzzle Racer ? 
Héhé ... j'vais m'gêner !


Le Puzzle Racer, Suzuki SV650 2002 Café Racer Maison  ;-)

... et je ne peux pas m'empêcher de te faire profiter de cet extrait incontournable de "l'encyclopédie imbécile de la moto" par Bidault et Bar2.

"une moto ne sert strictement à rien, c'est prouvé. En revanche, un motard amateur de sportives peut faire un excellent baromètre..."



mercredi 20 avril 2016

Promosport Lédenon, 2 et 3 avril - épisode 3

L'enfer du dimanche.
C'est comme ça que beaucoup de participants ont pu décrire cette journée...
Tempête ou "fin d'épisode Cévenol" à toi de voir. Mais il est certain que ce weekend est à effacer des tablettes.
Voilà en vrac un bon paquet de photos de ces deux jours, pour illustrer tout ça.
J'en ai encore un gros stock ! Je les distillerai de temps en temps ;-)


Renzo Ghelfie #136 et Matteo Verri#137 sur les Prototipi Pagani, Twinfast




Matteo Verri, #137 Prototipi Pagani.  Catégorie Twinfast





Pierre Sambardier, Promo 600



Estelle Leblond et Thomas Quintré, complices sur leur F2 SGR/Suzuki




François Leblond et Bruno Picquon




Le podium de la 500 Cup : Ludovic Seurre, Ludovic Descours et Romain Pape



Christian Hacquin, chevalier jedi du dimanche matin ...









Pénalité en endurance...




En endurance l'homme feu est parfois très pro !




Hop ! 15 litres ... vu la serviette de bain ? comme sur un ring, on essuie l'athlète avant l'attaque ;-) :-)




Pendant ce temps ...




... Etienne n'en perd pas une miette. La vigilance du fournisseur de qualité n'a d'égale que sa compétence à faire gagner !










En route pour la pré-grille !



Un panneauteur  doit savoir panneauter ! (et pour cela ranger ses chiffres dans l'ordre ...)




..."alors là t'as pas vu le jour !" > Oderia Jean Paul (#51), vainqueur de la première finale en sénior (la seconde sera annulée pour cause de pluie)




Pendant ce temps là ... on bricole chez les side-caristes (pour changer !!!)




Le side car F2 SGR/Suzuki d'Estelle Leblond. Où l'on remarquera que pour caler un side-car, il faut d'abord s'envoyer trois caisses de pinard !



Le side car F2 SGR/Suzuki d'Estelle Leblond, détail du train avant : superbe !




Les pneus slicks n'auront pas beaucoup servi ce weekend !











La guitoune de ton serviteur ... amarrée à Mamy ZRX d'un côté, et quelques tuyaux de l'autre ...




Triumph 675 Daytona










Les Radical Ducati en expo dans le paddock (la couleur du ciel n'est pas truquée !)





Vincent, jeune padawan de l'endurance, promène une béquille sous la pluie battante.











Pit bike

















































Coupe de France d'endurance : Yamaha 600 Benoit.F/Marie.N




Coupe de France d'endurance : Gaillard.P/Barlet.Y >  Honda 1000







vendredi 15 avril 2016

Bike test : Indian Springfield

Le pied !

Aujourd'hui il a fait beau, presque 25 degrés au soleil et une petite brise, pour rafraichir juste ce qu'il faut.
Sans hésitation tu auras sorti les accessoires idoines: lunettes de soleil, t-shirt cintré fashion et une terrasse de café pour déjeuner. 
Je me suis permis d'ajouter un petit détail à cette panoplie : une Indian Springfield raide neuve.
Ah ! je te vois venir ! Aurais-je lâché les bracelets du Puzzle Racer, délaissé Mamy ZRX ?
Bien sûr que non... Grâce à Monsieur D, que je remercie au passage, ainsi que la concession INDIAN LYON , je me suis retrouvé au guidon de la belle pour quelques dizaines de kilomètres dans les Pierres Dorées. 

Tu le sais maintenant, je n'ai pas la prétention de te te farcir la tête avec des chiffres et des tas d'essais comparatifs ... n'hésite pas à surfer pour creuser les aspects techniques,  car je préfère parler de ressenti, de sensations.

Indian Springfield

Le moins que l'on puisse dire c'est qu'elle était attendue cette Springfield !
En effet, nombreux étaient ceux qui voulaient depuis longtemps greffer les sacoches rigides des Chieftain ou Roadmaster sur leurs Indian Chief Classic ou Vintage, pour une raison esthétique d'abord, et pratique ensuite.
C'est effectivement ce qui est proposé aujourd'hui.
Mais s'arrêter à ce détail est un peu juste. 
La Springfield est un nouveau modèle, une évolution bienvenue dans la gamme déjà bien installée de la marque à tête d'indien. Son nom commémore les origines de la marque, dont l'usine originelle était située à Springfield, capitale de l'Illinois (USA)

A l'écoute de sa clientèle, Indian a intelligemment puisé dans son catalogue pour imaginer une réponse à la concurrente directe des modèle Chief : la Harley-Davidson Road King.
La dernière mouture de cette HD, issue du projet de développement "rushmore" a bien dépoussiéré le concept et offert à ce modèle une nouvelle jeunesse.
Les Indian Chief Vintage et Classic, de conception plus moderne, avaient vu fondre (un peu) leur avance en matière de motorisation et de chassis.
Mais quand on nomme son moteur "Thunder Stroke" (Coup de tonnerre in French) et que l'on porte une coiffe de plumes, on déterre la hache de guerre et on développe un nouveau modèle. Comment ? Simplement en jouant sur les axes connus d'amélioration :
Les Chiefs ont un empattement un peu long ? qu'a cela ne tienne ! On le raccourci un peu. L'avant parait un peu lourd ? pas de soucis : on ferme l'angle de chasse. 
Les sacoches en cuir (superbes au demeurant) ne ferment pas à clé ? Ok, on installe celles des Chieftains ou Roadmasters, qui s'ouvrent et se ferment grâce à une télécommande, située sur le transpondeur. 
Ce dernier permet le démarrage sans clé, comme sur tous les modèles de la gamme.

Le résultat ? un châssis de Chieftain, avec ses sacoches, le bâtit arrière du Roadmaster pour pouvoir fixer un "tour pack" optionnel, et une fourche de Chief Vintage, avec pare-brise et feux additionnels. 
Le poids reste le bémol. Il faut cependant souligner l'équilibre exceptionnel de l'ensemble, qui gomme cette sensation  dès les premiers tours de roue.
Le guidon spécifique de la Springfield offre un cintre proche de celui d'un "beach bar", ce qui lui confère un bras de levier hyper précis, et la position de conduite qui en découle est un appel au cruising.

Indian Springfield


Le cruising ? bien sûr ! Où avais-je la tête? 
C'est qu'avec cet angle de chasse un poil fermé, une moto un peu plus courte et ce fabuleux moteur à la sonorité légèrement travaillée (merci Monsieur S!), j'étais plutôt à la recherche de l'angle maxi, je "tapais" un peu dans le moteur au ras de la crête de couple, profitant de la souplesse de l'accélérateur électronique pour envoyer un coup de gaz au rétrogradage... c'est parfaitement inutile en conduite "normale", mais quel plaisir d'écouter les pétouillis métalliques qui sortent des échappements !
Dans ces conditions, la moto ne se désunit pas, elle est diablement précise pour un custom de ce gabarit. La Springfield se place au doigt et à l'oeil sur la trajectoire choisie, elle pardonne assez facilement les écarts, se redresse d'un pichenette pour replonger là où tu as prévu de passer. Bon, les limites sont perceptibles mais apparaissent  d'une manière prévisible et sans frayeur. C'est un véritable plaisir que de cravacher le gros 1811cm3 et ses 14mkg de couple.
Le freinage est top ! Progressif et dosable, il permet de rouler vraiment décontracté. Point d'appréhension  au moment de pincer les disques, c'est un régal. Assoir la moto sur l'angle à l'aide du frein arrière, ou coller un gros freinage de l'avant pour "bloc-passer" un cow-boy égaré dans les boucles de l'Azergues : pas de soucis ! et avec la banane en plus... ;-)

Indian Springfield

Ma belle du jour, équipée de l'incontournable sélecteur double branche (optionnel) s'est montrée également hyper docile en évolutions "nez au vent" . La vitesse de croisière idéale pouvant être atteinte pratiquement sur tous les rapports ... le caractère volontaire du twin lui permet d'évoluer en six à 50 kmh et de bondir à la moindre sollicitation, sans hoquet et avec une vigueur épatante. 
Le confort ne souffre aucune critique : la selle pilote comme celle du passager sont de véritables canapés. Un sissy-bar (optionnel, existant en plusieurs hauteurs) pourra satisfaire les lombaires de ton (ta) passager(ère) pendant que tes affaires seront parfaitement protégées dans les sacoches étanches verrouillées électriquement.

Tu y viendras ! Là, à 70kmh dans le soleil couchant, bercé par le "big twin", les pieds posés sur les "mustache highway bars", et tu rêveras d'installer la radio, un pare-brise plus haut, un GPS, un tour-pack, du chrome ... Aucun problème ! le catalogue d'options et d'accessoires Indian te permettra de personnaliser ta Springfield selon tes goûts.

Ne restera plus qu'à tailler la route...

Indian Springfield


Pour ma part j'ai dû la rendre, à regrets, car objectivement je la garerais bien dans mon garage idéale cette Indian. 
Oui, j'assume ! juste à côté du Puzzle Racer et de mamy ZRX. 

Alors voilà ce que je te conseille : range ton petit sourire, oublie un moment les cow-boys  et vient rouler dans les grandes plaines avec les Indiens. 
Le Grand Sachem te bénira et tu tailleras la route sans te retourner, au son du Coup de Tonnerre ... Génial !

Des photos ? bah voyons !


Indian Springfield



Indian Springfield




Indian Springfield




Indian Springfield




Indian Springfield




Indian Springfield




Indian Springfield




Indian Springfield



Indian Springfield



Indian Springfield



Indian Springfield



Indian Springfield



Indian Springfield