samedi 27 février 2016

Desert Storm Despatch

Royal Enfield Bullet Classic 500 "Desert Storm Despatch"



Comment faire pour pérenniser, installer un modèle dans une gamme ? (voire plébisciter la gamme complète?)
A l'aide d'un principe commercial récurrent : susciter l'envie au travers de séries limitées.
Chez Royal Enfield on ne coupe pas aux exigences du marketing et, pour notre plus grand bonheur, heureusement !
Puisque la marque est forte d'une histoire conséquente qui courre du 19ème au 21ème siècle, sur deux continents, les références légitimes disponibles sont nombreuses.
Voici donc une 500 "bullet classic" arborant une finition "Desert Storm Despatch" du meilleur effet.
C'est un hommage aux "despatch riders" de la seconde guerre mondiale. 
En français ces pilotes sont appelés "estafettes". Chargés de transporter des ordres et autres plis entre les différents états majors et le front, ces missions souvent dangereuses étaient confiées à des motards de premier plan dotés de motos rapides et fiables. 
La marque joue le jeu à fond, en illustrant le tout via son site internet > DESPATCH RIDER bien qu'à l'époque les motos les plus utilisées étaient sans doute des Norton, BSA ou encore Ariel.
Mais comment en vouloir à nos Indiens préférés? Ils ont raison, bien entendu ! La qualité de leurs produits n'est plus à prouver et leur réactivité en matière technique comme de finition au regard de la mode est désormais très actuelle.

Royal Enfield Bullet Classic 500 "Desert Storm Despatch"> 150ème exemplaire sur 200

Cette déclinaison "Despatch" (qui existe aussi en bleu) est limitée à 200 exemplaires dans le monde et comprend un traitement noir mat du moteur, de l'échappement, du bac à batterie et du cache injection. Ce dernier ferme à l'aide d'une sangle façon cuir très sympa. Le reste de la machine est à l'avenant. La sellerie est marron et comprend la selle passager (en option sur les autres modèles). 
Bien entendu, tu auras remarqué la peinture camouflage sable de l'ensemble qui définit sont identité. 
Enfin, quelques touches de chrome persistent comme pour souligner le pied dans l'ère moderne que notre amie avance, tout en gardant l'autre bien ancré dans le passé.

Voilà une bonne manière de rouler différent, sur une moto atypique qui saura attirer la sympathie partout ou elle passera ! 
Tu veux la voir de près ? Essayer un modèle ?  > passe de ma part chez SPECK MOTOS à Villeurbanne.

D'autres essais Royal Enfield par Le Galipomètre, à relire ;-) 






... et d'autres photos, bien sûr ! 


Royal Enfield Bullet Classic 500 "Desert Storm Despatch"




Royal Enfield Bullet Classic 500 "Desert Storm Despatch"




Royal Enfield Bullet Classic 500 "Desert Storm Despatch"





Royal Enfield Bullet Classic 500 "Desert Storm Despatch"





Royal Enfield Bullet Classic 500 "Desert Storm Despatch"

mercredi 24 février 2016

Usine à Gaz :-)

Side car F2, poste de pilotage

Les side caristes sont les rois de l'escamotage ! Tant de solutions techniques se travaillent et sont possibles dès lors qu'une carène couvre le tout...
Mais ne t'y trompe pas: le side cariste est un fin technicien, le roi du détail léché, de la beauté dans l'efficacité ! 
Belle pièces, alliages nobles... tout est pensé pour la performance.
Gaz !


Poste de pilotage d'un side car F1 LCR



Side car F2 Sam Gache Racing à moteur Triumph














dimanche 21 février 2016

Le viron

Mamy Transalp, la colline de Saint Cyr au mont d'Or à gauche, Lyon en contrebas, les Alpes au fond.

Un dimanche de beau temps, ya pas à se poser de questions : le viron s'impose !
Totalement improvisé, départ au pied levé en guise de digestif et sans vraiment de but, si ce n'est celui de trouver de petites routes sympas.
140 bornes en boucle entre la Côtière et ses quelques kilomètres de chemins carrossables mais non goudronnés, puis le Val de Saône, un petit bout de vallée d'Azergues via la Croix Rampau et le chemin des carrières de Saint Germain au Montd'Or. J'ai continué du côté de l'Arbresle, Saint Bel et le Col de la Luère. Retour par Craponne.
Le tout ponctué d'arrêts paysages et un peu photo. Mais sur ce dernier point je n'ai pas été très fort ! 
Reste un bon moment fait d'un paisible enroulage de câble, de pifs et de pafs sur un revêtement enfin sec et propre. De nombreux motards ne s'y sont pas trompés, ils ont envahit le secteur avec bonheur en profitant d'une météo plus que clémente.
Génial !


Lyon, vu du Mont Thou

vendredi 19 février 2016

Le Mans

Moto Guzzi Le Mans - Café Racer


Plus d'infos ?     CLIQUE ICI !


Moto Guzzi Le Mans - Café Racer





Moto Guzzi Le Mans - Café Racer

mercredi 17 février 2016

Dites 33 !

Un ZX6-R en synchro

Journée K ;-)

Cirque de Combe Laval, Vercors, Drôme ...


Je furetais dans mes disques durs lorsque je suis retombé sur ce cliché, tiré d'une balade opérée au printemps 2006... ça ne nous rajeunit pas ! Mamy ZRX était une frêle jeune bécane, Bull roulait sur son ZX636R flambant neuf (gros pourvoyeur de courbatures ;-) ) et Fred continuait d'user son bon vieux ZZR600 ... Ah ! c'était bien !
Et ... à refaire dès que possible. 
Tenté ? fais moi signe !

vendredi 12 février 2016

mardi 9 février 2016

MAGNUM

Victory Magnum





Victory Magnum





Victory Magnum





Victory Magnum



Victory Magnum

lundi 8 février 2016

Contact : Orcal 125 Astor

Orcal 125 Astor

C'était mieux avant ?
Je ne sais pas. 
Mais en matière de deux roues motorisés, nous avons pour beaucoup fait nos premières armes sur de petites cylindrées, qui nous ont marqué et refilé le virus de la moto.
A l'époque la case "deux temps" était inévitable et il faut bien reconnaitre que la performance mécanique était mise en avant, souvent au détriment de la fiabilité. 
Puis les temps ont changés. Les automobilistes ont eu de nouveau le droit de conduire un 125 cm3 sans formation spécifique, puis une formation leur a été imposée. Le permis A1, pour l'accès au 125 cm3 dès 16 ans, a peut-être du coup un peu moins de succès. 
Dans le même temps la réglementation a évolué, le cycle du moteur deux temps à vécu et il a fallu développer d'autres alternatives, parfois électriques. 
Le moteur quatre temps a été remis au goût du jour pour des questions écologiques et notamment de consommation, au détriment cette fois de la performance (pour le moins assez éloignée de ce que nous avons pu connaitre, nous z'ôtres amateurs de cylindres à trous)
Mais je me dois d'ouvrir mes chakras et de réfléchir à la question d'un point de vue actuel.
Fais comme moi : pense que l'utilisateur de petite cylindrées (scooter ou moto) est d'abord un conducteur automobile. De fait, son niveau d'exigence est comme son âge: plus élevé.
Il ou elle attend un produit bien fini, au fonctionnement simple, accessible et qui présente bien. 
La cylindrée ne doit plus être rédhibitoire -comprendre: peur du ridicule- et notre automobiliste entend et attend qu'on les respecte comme un usager de deux roues à part entière. Un motard quoi !
Il ou elle lui faut donc un véhicule à la hauteur de ses espérances.
Depuis quelques années certains distributeurs l'ont bien compris. Notamment la SIMA, qui a entrepris d'implanter sa marque, Mash, qui surfe sur la vague néo-rétro et tente de s'imposer là ou les ténors du marchés restaient sur des acquis : face à la Honda 125 CBF ou la Yamaha 125 YBR qui sont les plus représentatives de ce qui existe comme motos utilitaires (parmi les plus vendues dans le monde) mais sans réelle saveur, ni esthétique particulière.

Orcal 125 Astor

Arrive aujourd'hui celle que tu découvres ici : la ORCAL 125 ASTOR. 
La marque ORCAL est mise en avant par la DIP, un autre distributeur renommé sur le marché moto en France. A l'origine tournée vers le scooter, cette marque entend bien prendre sa place sur ce marché très concurrentiel de la moto typée néo-rétro, ou finition et personnalisation sont les fers de lance. De plus, des tarifs agressifs permettent au plus grand nombre d'accéder à ces modèles : il s'échelonnent de 2000 à 3000€.
Donc j'ai pu approcher et même rouler notre modèle du jour, l'Astor 125.
Je dois reconnaitre qu'il y a longtemps que je n'avais pas prêté attention à ce type de machine.
Je dois avouer également (je suis à deux doigts de me repentir !) que jusqu'à présent les petites brêles surfant sur la mode rétro, café racer i tutti quanti de cet acabit me chagrinaient un peu à cause de leur fabrication asiatique. Voir plus à l'Est que l'Est.
Mais aussi sûr qu'il n'y a que les imbéciles qui ne changent pas d'avis, il faut reconnaitre que l'Empire du Milieu progresse également.  
C'est donc avec un regard plissé que j'ai observé la bête.
Bon. 
A la manière d'un "vieux motard" (que jamais!) voilà ce que j'en dit, moi, de cette 125 Astor.
Je la trouve jolie.
Même pas mal du tout !  d'abord, tout est planqué. Il n'y a pas de fils qui trainent. Tout juste du côté droit on peut se demander pourquoi le système de dépollution n'est pas un peu plus caché. Mais il est assez bien intégré, compte tenu de la place disponible. 
La ligne générale de la moto est typée rétro, fin des années soixante, avec un chouette réservoir en tôle. Dans son prolongement la selle est fort accueillante et sa mousse est juste ferme comme il faut. Le duo est confortablement envisageable. Sa hauteur culminant à 78cm du sol satisfera tous les gabarits.
La position de conduite est conventionnelle, le guidon est réglable et les repose-pieds bien à leur place. Même mon mètre quatre-vingt douze s'est senti à l'aise à bord !
La partie cycle est flatteuse : de belles roues à rayons chaussées de pneus de larges section (110/70-17 avant et 130/70-17 arrière) donnent fière allure à l'ensemble, cependant qu'elles sont reliées à la moto via un bras oscillant conventionnel arrière doté d'une paire d'amortisseurs chromés, et à l'avant une fourche de bon diamètre (37mm) protégée par d'esthétiques soufflets en caoutchouc. 
Entre les roues on trouve un cadre simple berceau largement dimensionné qui confère à notre Astor une homogénéité dynamique rassurante dès les premiers tours de roues.
Bien sûr elle est peut-être un poil plus lourde que ses concurrentes. Mais c'est pour la bonne cause : ses garde-boues sont en métal, elle offre de larges poignées passager elles aussi en métal chromé, elle propose une béquille centrale ... bref ! elle met en avant de nombreux atouts.
Mais si il y en a un qui m'a séduit je dois le dire: c'est le moteur. Ton œil avisé aura reconnu la silhouette familière d'un bloc Yamaha, le 125 YBR pour être précis. Et bien ce mono quatre temps simple ACT qui développe environ 8 chevaux, en est une émanation très ressemblante. Il conserve son kick très pratique, sa boite contient 5 vitesses et c'est encore un bon vieux carbu qui le nourrit. 

Orcal 125 Astor, moteur, kick déplié et joli échappement à contre-cône.

C'est là qu'opère la magie sino-japonaise: la capacité des uns à reproduire efficacement la réussite des autres. Cela se ressent à la conduite. Le caractère pétillant de l'YBR se retrouve avec plaisir, et procure de sympathiques sensations au guidon de l'Astor. Pour un peu je m'imaginais parcourir la campagne le nez au vent !
Car les performances sont au rendez-vous, toutes proportions gardées. Le petit mono t'emmènera aux vitesses légales à deux chiffres avec enthousiasme, et continuera son ascension jusqu'à ... ce qu'il faut pour emprunter le périph' sur la file de gauche.
Le confort global est bon, l'amortissement correct. La tenue de route est tout à fait convaincante, eu égard aux pneus larges. La direction reste légère, mais l'empattement assez long offre une sensation de précision et de stabilité insoupçonnée de prime abord. 
Bien sûr, les appuis aux repose-pieds sont très sensibles cependant que le guidon mono barre de section variable permet un ressenti très agréable de l'avant.
Quant-au freinage, il est largement suffisant et rassurant pour le gabarit de la moto. 

Je te vois sourire ! 
J'assume ! j'ai vraiment apprécié ces quelques kilomètres au guidon de l'Orcal 125 Astor.
En ville, rien à redire, c'est un outil : faufilage, parking facile etc... A la campagne ce sera la reine des pique-niques via les petites routes ! 
En plus elle arbore une jolie petite gueule. Les plus malins trouveront à la personnaliser facilement. Son look vintage supporterai bien les artifices racing des sixties (carénage repose bras, selles à dosseret, commandes reculées, bande thermique sur l'échappement ...)  Mais sa selle biplace ne demande qu'à être pourvue de jolies sacoches en cuir non ? 
Dans tous les cas,  il y a de quoi affoler les candidats à la branchitude comme les amateurs de motos, sans avoir à passer le permis !

Quel plaisir ! 

Des infos ? un essai ? Contact > Speck Motos  et au 04 72 04 66 66
Merci Thomas !

Hop ! une tournée de photos histoire de jeter un oeil ...


Orcal 125 Astor, tableau de bord








Orcal 125 Astor, commodo droit



Orcal 125 Astor, commodo gauche (commande de starter manuelle)




Orcal 125 Astor, poste de pilotage !



Orcal 125 Astor > le bouchon de résé aviation !



Orcal 125 Astor



Orcal 125 Astor, cache latéral : rien à envier à une Ducat' sport classic !  ;-)



Orcal 125 Astor



Orcal 125 Astor

mercredi 3 février 2016

V deux, roues 3

Basset Ducati 600, chassis GEP modifié BONNET


Voilà un chouette side-car de course, avec une motorisation italienne pas si courante dans ce type d'engin...
Filer au ras du sol, sensations extraordinaires !

Vivement le début de la saison ... ;-)

Archives maison, Panissières 15




Philippe Szendroi / Manuela Salas Validot -La main au panier-  600 Ducati / GEP modifié BONNET





Philippe Szendroi / Manuela Salas Validot -La main au panier-  600 Ducati / GEP modifié BONNET





Philippe Szendroi / Manuela Salas Validot -La main au panier-  600 Ducati / GEP modifié BONNET


lundi 1 février 2016

Cornets

Les grandes orgues ... :-)



Archives maison : je ne sais plus ou j'ai pris ce cliché, mais je l'aime particulièrement. Patine, traces d'usure, taches ... c'est le cœur d'une bécane qui roule !