mardi 29 avril 2014

G .



Archives maison, Panissières 13 ... tout ça pour dire que la saison de courses de côtes est sur les rails !

lundi 28 avril 2014

Mais qu'as-tu dans le crâne ?

C'est curieux cette attirance morbide pour touts ces trucs et ces machins en forme de crâne, non ?
Est-ce notre âme d'enfant, farcie de pirates à la Biaggi, ou encore une manière d'effrayer le pékin resté sur d'horribles histoires de blousons noirs ?
Peut-être est-ce juste l'exutoire... le moyen de chasser le mauvais œil, le blindage derrière lequel on se cache. Le petit complément de dorsale ou de genouillère, cachant la discrète médaille de Saint Christophe planquée sous le té de fourche ?

Bon, ok. Mais ... les paillettes ?!





samedi 26 avril 2014

lundi 21 avril 2014

V-Twins and feet first in Lyon ... la Victoire aux Indiens !

Il s'en passe des choses dans la capitale des Gaules ! 
Le printemps est bien présent maintenant, le weekend Pascal marque souvent le début des virées et autres sorties. Les motos sont prêtes, les motards aussi. 
Chacun selon ses préférences envisage l'été à venir, le plaisir de rouler, de partager avec ses amis (es) 
Bien sûr, les affinités sont marquées.
Certaines, peut-être plus que d'autres.
Ainsi les amateurs de vétouines ricains aiment se retrouver pour célébrer leur passion commune.
Et lorsque ces moteurs se nomment "Freedom" ou "Thunderstroke 111", tu sais déjà que je te parle des Victory et Indian, dont jeudi passé les concessions (réunies car appartenant au même groupe) offraient à leur clientèle une petite fête printanière.
Au menu, pin-ups, ambiance american dinner, burger party... Un concert live avec en special guest un Michael Jones conquis par la marque à tête d'indien, puis en clou de la soirée, la remise de sa moto à un client, qui quittera la fête sous les vivats et coups de gaz endiablés de l'assistance.

Excellente soirée, un vrai bon moment !









Michael Jones, en vrai, pousse la chansonnette... chouette !


L'assistance, attentive.

On en profite pour essayer ...







Clique ci-dessous pour voir ...
Une p'tite vidéo réalisée par Bulbizzard ;-) Merci !



samedi 19 avril 2014

The Royal Racer

A Lyon, en plein centre ville, se trouve un lieu atypique dédié à l'accessoirisation du motard.
Je n'ai pas dit "de ta moto" ... ici l'on trouve le dernier chic en matière de produits et de marques reconnues ou même plus confidentielles (El Solitario, A Piece Of Chic, Ruby ...) pour t'équiper selon la mode en vogue aujourd'hui, et probablement celle de demain. Celle qui surfe sur la vague néo vintage qui déferle sur notre monde à deux roues.

Le jeudi c'est "the place to be" avec les soirées thématiques "thursday is the day", où la clientèle du magasin, le badaud du coin et les motards de bon goût ;-) peuvent se retrouver autour de leur passion commune. 
Cette dernière n'est pas forcément celle que l'on croit ! la moto devenant alors un prétexte pour choisir le blouson hype qui collera parfaitement avec le carré de soie assorti à ton Triton.
Phillipe et Pierre, en artistes attentifs, sauront te conseiller au plus juste dans ta recherche de l'accessoire idéal. Ils s'appuient sur une parfaite connaissance du marché et de ses acteurs, gageant sur l'irréprochable qualité des articles qu'ils auront sélectionnés.

Jeudi passé, honneur était fait à la marque Royal Enfield.
Beaucoup sont venus découvrir la nouvelle Continental GT, tandis que l'on pouvait admirer une superbe restauration d'une Bullet de 1969.

Plus d'infos ?
Tu peux cliquer sur ces liens, qui devraient te renseigner au mieux:

http://www.theroyalracer.com/

https://www.facebook.com/theroyalracer

http://www.speck-motos.com/

http://legalipometre.blogspot.fr/2014/01/bike-test-le-joli-racer-from-india.html




Le Guzzi V7 par Baak Motocyclettes ... du custom Lyonnais


Une chouette 175 Tobec' des années 50


Royal Enfield  500 Bullet Classic 2009


Ah ! la collection Biltwell ...


Une Royal Enfield Bullet 500 de 1969 ... superbement restaurée


La Royal Enfield Continental GT ne dépareille pas !


Indémodable flamming ...

Ambiance ...

vendredi 18 avril 2014

Chop' in Lyon



Aperçu ce soir, ce chop' sur base sporster appartenant à  "Choppers Local Hervé"

J'adooore !!










mercredi 16 avril 2014

Agenda... les Coupes !




Elles approchent !   Fourbis ta pétoire, révise ton encyclopédie motarde et tiens toi prêt.

Toutes les infos  >>  ICI

Oh oui ! je vais y trainer mes guêtres !!! (et mon Nikon ;-)  )  ça te tente ?  n'hésite pas une seconde ...

lundi 14 avril 2014

Bike test : Jackpot !!

Attention, voilà du lourd.

Tu aimes le rock, les concerts, rouler cheveux au vent, les échappement libres, la puissance brute d'un gros vétouine ricain ? 
Alors ceci est pour toi !
Oui, mais ne te méprends pas. Si mes mots te font penser à une référence en particulier, faite de franges, d'ailes déployées et de grands espaces, il faut ouvrir tes chakras de biker et ne pas hésiter à te tourner vers l'ouest des Etats Unis.
Pas n'importe lequel, l'ouest des grands lacs, au delà des frontières de l'état de l'Illinois pour te retrouver, te ressourcer dirais-je, en Iowa.
Car c'est là, à Spirit Lake, que le groupe Polaris a implanté l'usine Victory.
Fort de sa puissance économique et financière, bâtie sur plus de 40 ans de production et d'innovations en matière de moyens de transports alternatifs tels que motoneiges et engins utilitaires, le groupe Polaris donne naissance à la marque de motos Victory en 1998.
Et il fallait être sûr de son coup pour avoir l'idée de créer ça à quelques encablures à peine du plus gros concurrent qui soit ! 
Depuis, le succès est au rendez-vous et importé chez nous depuis 2010.
Tu ne vas pas t'en plaindre, puisque je te livre sur un plateau mes impression à bord d'un modèle emblématique de la gamme Victory : la "Vegas Jackpot"





Apparue en 2010, la "Jackpot" est la finition la plus clinquante de la série "Vegas", customs bruts, simples et sans fioritures de la marque.
Coloris flashy, chrome à profusion, tout est fait pour ne pas passer inaperçu !
Tout le monde se retourne sur son passage. Je sais, j'ai vérifié.




La position de conduite avec les pieds en avant n'est pas un problèmes pour les grands, ni pour les petits. Les commandes tombent pile sous les pieds et les mains, sans contorsions nécessaires.
La selle est confortable et vient soulager un amortissement un peu sec et dur sur les gros chocs. 
Mais on est loin d'un cadre rigide. En fait, on s'en fiche. Les bras écartés sur le guidon,  le vent dans la quiche on passe son temps à se marrer. Où alors à faire la gueule, façon bad boy. Mais ça ne trompe personne ! comment veux tu ne pas finir par frimer carrément au guidon de cet engin? 
Il te faudra, c'est sûr, un peu de bouteille pour emmener cet équipage avec assurance. 
Campée sur un pneu arrière de 250/40-18 et une roue avant en 90/90-21, il n'y a pas moyen de tourner de manière conventionnelle. C'est très lourd, offre un curieux ressenti, mais ne parvient pas pour autant à te rebuter. 
Au contraire !  avec humilité il faut appréhender chaque courbe, accepter la garde au sol inexistante, le repose pied gauche frotte au sol facilement, et à droite ce sont carrément les échappements qui te rappellent à l'ordre...en frottant généreusement eux aussi.
Le "croisement" des dimensions de roues sur l'angle (surtout la largeur des pneus) ne confère pas un grand sentiment de tenue de route ... seul le poids de l'ensemble finit par te rassurer.
Mais -me diras-tu- quel intérêt ?
Oui -te répondrai-je- quel intérêt ? et bien ami cher, le même qui fait que du jour au lendemain tu n'es plus parvenu à te séparer de ton smartphone : tellement inutile au premier abord qu'il en est devenu indispensable. 
Moi, j'ai rangé direct la Vegas Jackpot dans mon garage virtuel "de quand j'aurai gagné au loto". Paf. Aussi simple que ça. 
Non pas qu'elle soit parmi les plus chères du segment -autour de 17000 euros- mais je ne peux pas conserver les machines que j'essaie ...





Contact sur le côté gauche du moteur, entre les cylindres. L'injection s'initialise et, du pouce, tu lances le "Freedom V-Twin", qui cube 1731 cm3 et développe environ 90 chevaux. Quatre soupapes par cylindres avec arbres à cames en tête crachent alors un souffle d'enfer à travers la paire de drag pipes qui équipent ma belle du jour. Le gros filtre a air et une bonne mise au point de l'injection permettent des envolées lyriques pas du tout atténuées par les courtes tubulures d'échappements. La vache ! je suis sûr de prendre une prune !

Mais là vois-tu, d'un coup, je m'en tape. Je gaze. Le bruit, assourdissant, est immédiatement suivi des gargouillis d'admission d'air et des retours d'allumage sur les rétrogradages ... jouissif !

Bande son (si toutefois tu avais un trou) tous les standards du rock, des années 60 à nos jours. Du costaud, du très lourd. Chair de poule, cuir et frime assurée.
Première, décollage sur le filet de gaz... Brâââât!  énorme ! jusqu'en 5 la poussée est continue, soutenue mais pas effrayante, juste ultra plaisante. La 6  est une overdrive (la surmultipliée de ton papy) et permet d'évoluer sur une plage très large, de 60kmh jusqu'à... 180 parait-il. 
Pour ma part, mon casque jet a tenté de se faire la malle bien avant ! 
Au delà de ça, il est  très agréable de pas avoir à tricoter du sélecteur pour cruiser le nez au vent... comme pour doubler. 
Pour stopper les près de 300 kilos de la bête, un simple disque de 300mm à l'avant comme à l'arrière suffisent pour contenir l'ensemble sereinement. Le frein moteur remplissant déjà une grosse partie du travail.



Un vraie moto plaisir, une machine à te filer la banane quoi !
Extrêmement valorisante, la Victory Vegas Jackpot offre une finition léchée, du feu arrière à leds en passant par les énormes jantes chromées, la fourche alternant une base aplatie s'arrondissant vers le haut, une selle aux courbes intégrées à la ligne générale, la tableau de bord aussi complet que dépouillé ... bref !  l'ensemble fait très classieux et supportera sans soucis un examen poussé par tous les bikers... que ce soit les spécialistes en terrasses de café comme les puristes.
Et puisque tu es en terrasse (lieu ou cette moto passera assurément beaucoup de temps) tu peux constater qu'il est possible d'emballer d'emmener un(e) passager(ère) au pied levé. Je n'ai pas testé, mais il semble qu'une taille 34 pour 45kg soit un maximum pour profiter pleinement du... pouf situé derrière ta selle. Mais tout est possible, le monde t'appartient au guidon de la Jackpot, tu pourras peut-être tirer le gros lot !


Dans le petit écran s'affiche un indicateur de rapport engagé, le compte tours, etc...


Le moyeu de la roue avant ... superbe !

La Vegas Jackpot ne laisse pas indifférent : on aime, ou pas. Mais impossible de ne pas en parler. Les amateurs comme les détracteurs se retrouvent avec surprise en train de la détailler où qu'elle soit stationnée... Ce qui est presque un comble pour ce type de machine, dans le sens ou finalement un certain but est atteint : on ne la confond finalement pas avec une autre machine et, du même coup, une autre marque.
Pour ma part, je me voyais bien partir dans le soleil couchant, au son des explosions simultanées des deux grosses gamelles, sur une highway en bord de mer...
Mais c'était le matin à Lyon, et pour passagère j'ai embarqué une guêpe dans mon casque !
Je te passe les détails.

Il faut finalement retenir de la Victory Vegas Jackpot que malgré un poids et une prise en main peu évidente elle est une moto qui te flattera en permanence par son allure et sa finition. Son moteur aux sensations brutes est une véritable distillerie de plaisirs dédié au monde du custom et des grands espaces... tant que ceux-ci sont une ligne droite !

Elle te plaît ? 
Tu veux la voir, l'essayer ? 
Va, va de ce pas chez Victory Lyon > 24 rue des Aulnes 69760 Limonest , 04 37 46 18 02
ou là > le facebook de la concession 

Merci à David pour m'avoir permis de te faire profiter de ce petit tour de frime  ;-)  ah! quel panard !!!

D'autre photos ?  bien entendu ! 




La pin-up qui va bien


Chez Monsieur Paul ... une histoire de goût !

Le Golden Gate ? non, le pont de l'Ile Barbe  ;-)

106 pouces au cube, soit 1731 centimètres au cube

... c'est le vétouine "Liberté"

les drag-pipes, échappements courts qui proposent un ramage à la hauteur du plumage ...



La selle, pilote et passager



On peut rester longtemps sur la béquille ... détailler la Jackpot est un plaisir !

vendredi 11 avril 2014

Bike test : Kawa 1400 ZZR... Whoooooshhh !

Ah! le printemps !
Il fait beau, les oiseaux chantent. 
La brise, forte d'une quinzaine de degrés, parcoure le moutonnement paisible de la montagne Beaujolaise. 
Les prés sont verts, les vaches broutent ...   et la Kawasaki 1400 ZZR déchire l'air.



Whooooooshhhh !!!!

C'est incroyable. Je sais, j'aurais dû t'en parler plus tôt.
Apparue en 2005, elle est l'héritière d'une longue lignée de ZZR qui a fait la réputation de la firme d'Akashi en matière de missile sol/sol. 
Les ZZR 1100 et 1200, précédées des 1000 RX et Tomcat, ont marqué les esprits et leurs époques respectives à travers des performances gravées au Panthéon des motards.
Notre amie du jour (bonjour!) est la dernière mouture toute fraiche de cette année.
Je n'aime pas trop faire l'article -car d'autres le font beaucoup mieux que moi- mais sache que notre ZZR cube 1441 cm3, est donnée pour 210 chevaux avec l'admission d'air forcée (seulement 200 sinon !) offre un couple de 16.5 mètres/kilos, abat le 400 mètres départ arrêté en moins de 10s et permet une vitesse de pointe de 300 kmh ...

Mais il faut surtout retenir que c'est une formidable routière !


La prise en main est évidente, on se sent très vite à l'aise. Les plus grands auront peut-être une peu de mal avec les jambes assez repliées. Heureusement le poste de pilotage est très accueillant, avec une selle au moelleux appréciable, des commandes idéalement placée et un tableau de bord bien dégagé.
Tu prends la route sans arrière pensées mais avec un  bagage d'expérience nécessaire.
Ensuite .... quel pied !
D'accord on l'a assez dit, je suis bon public, ok. C'est une Kawa ? moui, je le confesse, j'ai un faible.
Mais rends- toi compte bon sang !
Cette moto, au bout de quelques minutes c'est comme si tu l'avais depuis mille ans. Le mode d'emploi est limpide. Il faut garder à l'esprit qu'elle est certes lourde, sur un empattement très long, mais qu'une fois en route il n'y parait rien. 
Le bloc souffle avec une force absolument dingue. Accélérations, relances, tout concours à te coller le pâté au fond de la boite. 
Le freinage est dément, doté de l'ABS en série. Quand tu chopes le levier droit, l'avant de la moto se plante dans le sol avec puissance et progressivité. L'équilibre général te permets de doser le lâcher de frein simultanément avec ton oeil rivé sur la traj', le transfert de masses qui engage le tout dans la courbe et le filet de gaz que tu vas "arrondir" en suivant la parabole asphaltée ... elle se referme ? hop ! une léchouille du pied sur le frein arrière et la ZZR mord la trajectoire aussi sûrement que le JB'S Monorail... 
Pourquoi te parler des JB'S ? parce que je les écoute au moment où j'écris ces lignes. Je pense d'ailleurs qu'écouter James Brown te changerais de la traditionnelle ambiance rock qui va avec ta brêle ... m'enfin tu fais comme tu veux.
Bref !
La sortie de la courbe se fait alors en harmonie avec ton état d'esprit du moment: sur les gaz, pleine charge, avec violence et la sensation d'être assis sur le capot du "faucon millénium" en vitesse lumière (moins Shewbacca!) ou alors sur le couple, avec la sensation d'être assis sur un lance-pierres géant qui te propulse sans effort vers le virage suivant.


 Diantre !
On ne sait plus ou donner de la tête !

La ZZR 1400 2014 se met aussi au goût du jour, avec un tableau de bord moderne, piloté depuis le commodo gauche par un bouton de navigation instinctif. 
Beaucoup d'infos sont disponibles, mais sont difficilement lisibles en roulant. 
La position de l'écran impose de quitter la route des yeux pour le lire. Si tu y arrives, tu y trouveras un indicateur de rapport engagé, une jauge, les infos moteur, températures d'huile et d'eau, charge de la batterie, conso instantanée, moyenne etc ...ainsi que le fameux KTRC, Kawasaki Traction Control, (contrôle de traction, une sorte d'antipatinage) qui te propose trois modes, quatre si l'on considère qu'il est déconnectable. 
La position 3 est la plus intrusive, mais autorise le vissage de poignée dans les feuilles mortes. J'ai choisi de rester sur 1 pour mon essai, après avoir constaté que sur 0 le ressenti est "brut", avec une remontée d'infos en direct de la roue arrière très présente sans pour autant être rédhibitoire, mais qui pourra inquiéter le novice (juste avant de se bourrer en tête à queue dans les gravillons que nos amis de la DDE ne vont pas tarder à déverser sur les routes) 
Deux modes de cartographie d'allumage sont également disponibles, le "F" pour "Full power" (vue de l'esprit en France...) et "L" pour "Low power". C'est parfaitement inutile en configuration moteur bridé. Le "L" ne délivre que 75% de la puissance dispo... donc environ 75 chevaux si l'on tient compte du bridage à 100 chevaux. 
Parlons-en du bridage ... cet outil incroyable que tu as entre les jambes -la ZZR bien sûr, sois à ce qu'on dit- se voit affublée d'un bridage électronique des plus castrateurs. Pire, c'est même inconfortable à la conduite, tellement que parfois tu devras t'adapter en fonction du ressenti moteur par rapport au terrain. Exemple: un dépassement que tu pourrais effectuer en toute sécurité sur le troisième rapport t'obligera à passer la quatre, quitte à passer en sous régime, juste pour maintenir la vitesse nécessaire à l'opération. 
Mais il faut faire contre mauvaise fortune bon coeur et, malgré cela, (et puisque si tu devais l'acheter, tu la débriderais) j'ai tout de même pris un malin plaisir à utiliser toute la plage possible pour titiller le gros bloc.


La stabilité est impériale. L'amortissement, réglable dans tous les sens, seconde parfaitement une partie cycle désormais réputée. Le cadre monocoque en aluminium est un compromis idéal entre souplesse et rigidité, ce qui confère à la Kawasaki une rigueur très appréciable sur tous types de routes ou revêtements.
Elle se place au doigt et à l'oeil, avec sérénité, alors que parfois sa longueur engendre un léger louvoiement sur des raccords en courbe, à allure soutenue. Cela n'est pas du tout gênant et reste largement acceptable.
Il est d'ailleurs à noter que les larges routes bien revêtues sont le terrain de prédilection de la 1400 ZZR. 
Cependant, elle ne rechigne pas à se lancer dans les plus petites, ou elle deviendra plus physique à emmener, pour ton plus grand plaisir.
Elle réagit agréablement aux appuis guidon/repose-pieds, son poids devenant alors un atout en offrant un ressenti précis et rassurant.
Enfin, la protection offerte par le carénage est plus que satisfaisante. Les jambes sont à l'abri, alors que le casque est juste à la limite du remous. Si tu choisis d'augmenter la vitesse, la position "limande" est  favorisée par un creux sur le réservoir, pour poser la mentonnière de ton casque.

Bien sûr cette bécane est, avec la Suzuki 1300 GSX-R, une sorte de survivante de la course à l'armement qui a animé la fin des années 90. On ne peut que déplorer la raréfaction de l'espèce, qui reste mythique à plus d'un titre. Ne serait-ce qu'en ce qui concerne la vitesse de pointe de ces motos.
Il n'empêche qu'aujourd'hui rien n'interdit d'envisager de rouler sereinement, tranquillement, au guidon de la Kawasaki 1400 ZZR qui est et restera une fabuleuse moto de route ... 

Tu es conquis ? tu en veux une ? 
> va de ma part faire un tour chez Kawa Lyon, 60 chemin de la bruyère, 69570 Dardilly
Ou alors clique ICI 

Merci à Monsieur Z et Christophe pour le prêt de la bête !!!

>> quelques clichés ?  bah voyons !










Benjamin a profité de cette matinée pour dégourdir son 1200 GS-A, Quelle bonne balade !